La mi-session est déjà entamée. J’en ai par-dessus la tête. De l'art plein la tête. Je me suis promise de ne plus me laisser assimiler par la pression négative. Le moyen pour y arriver : prévoir des moments qui sauront nourrir ma motivation et conserver mon esprit sain. Malgré le respect de cet objectif, j'ai l'impression de baigner dans une saturation des arts qui tend à m'éloigner du reste du « monde ». À l'horaire : shooting pour un projet multimédia, conférence de presse pour un concours cinématographique, surcharge d'ouvrages et d'articles sur la notion démocratique de l'art, scénarisation d'un projet vidéo, emploi à temps partiel au Centre culturel. Pour ne pas perdre la tête : installation de Marc Garneau à la galerie Horace, We are wolves et Pas chic chic au Téléphone rouge, le lancement de disque de Dactylo Fidelity, un aller-retour aux RVCQ pour profiter d'une conférence, pour voir (enfin!) Continental, un film sans fusil, et peut-être Borderline (film qui me titille de plus en plus non seulement grâce aux critiques, mais aussi grâce aux propos d'une amie branchée) et, pour le mois de mars, The Hives, Justice et peut-être une soirée électro endiablée de la S.A.T. donnée par Moby. Mon quotidien serait-il en manque de diversité?
jeudi 14 février 2008
L'art est un cercle vicieux
Posted by Stephanie Trudel at 21 h 17
Labels: États d'art