Le groupe suédois The Sounds a récemment lancé son deuxième album Dying to say this to you. C’est après avoir été séduite par le vidéoclip du premier simple électrisant Painted by numbers que je me suis ruée sur ce nouvel opus.
Avec Dying to say this to you, The Sounds a tenté d’évoluer avec un son beaucoup plus électro que son album précédent, Living in America. L’intention se fait sentir, mais les efforts sont voués à l’échec.
En effet, la guitare abandonne son poste de chef d’orchestre pour céder au clavier la charge de la direction mélodique. Ce relais a pour conséquent un recueil de notes faciles qui mène à une pop beaucoup moins recherchée, frôlant parfois le kitsch.
Dans ce sens, Tony beat est tout à fait énervante, voire insupportable. Night after night s’avère le pire choix musical du répertoire : la pièce fait gravement douter le talent d’Ivarsson pour le chant. Quelques simples accords au piano accompagnent la voix de la sexy Suédoise, laquelle ne semble pas apte à tenir une note correctement, forçant sa voix dans une clé totalement irritante. C’est cependant avec Hurt you que The Sounds tombe dans le ridicule alors qu’Ivarsson partage son micro avec un de ses musiciens pour ainsi produire une influence pathétique de Depeche Mode.
Dying to say this to you n’est toutefois pas une défaite absolue pour le groupe dans la pop électro. La mélodie de Painted by numbers nous accroche dès ses premières notes. Le court duo musical que forme la batterie dirigée par le synthétiseur relève d’une transe harmonieuse. La voix parfois rauque, parfois féminine de Maja Ivarsson au cours de Song with a mission, Queen of apology et Ego, ne fait que nous séduire.
Enfin, ce n’est pas avec une direction photo électrique, une chanteuse au sex-appeal affriolant et une pochette aguichante que le groupe atteindra THE sound.
Avec Dying to say this to you, The Sounds a tenté d’évoluer avec un son beaucoup plus électro que son album précédent, Living in America. L’intention se fait sentir, mais les efforts sont voués à l’échec.
En effet, la guitare abandonne son poste de chef d’orchestre pour céder au clavier la charge de la direction mélodique. Ce relais a pour conséquent un recueil de notes faciles qui mène à une pop beaucoup moins recherchée, frôlant parfois le kitsch.
Dans ce sens, Tony beat est tout à fait énervante, voire insupportable. Night after night s’avère le pire choix musical du répertoire : la pièce fait gravement douter le talent d’Ivarsson pour le chant. Quelques simples accords au piano accompagnent la voix de la sexy Suédoise, laquelle ne semble pas apte à tenir une note correctement, forçant sa voix dans une clé totalement irritante. C’est cependant avec Hurt you que The Sounds tombe dans le ridicule alors qu’Ivarsson partage son micro avec un de ses musiciens pour ainsi produire une influence pathétique de Depeche Mode.
Dying to say this to you n’est toutefois pas une défaite absolue pour le groupe dans la pop électro. La mélodie de Painted by numbers nous accroche dès ses premières notes. Le court duo musical que forme la batterie dirigée par le synthétiseur relève d’une transe harmonieuse. La voix parfois rauque, parfois féminine de Maja Ivarsson au cours de Song with a mission, Queen of apology et Ego, ne fait que nous séduire.
Enfin, ce n’est pas avec une direction photo électrique, une chanteuse au sex-appeal affriolant et une pochette aguichante que le groupe atteindra THE sound.